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Capitaine Hornblower - Année de la mer 2024-2025
Michel Le Bris (préface de)
Date de parution : 10/10/1995
Éditeurs :
Omnibus

Capitaine Hornblower - Année de la mer 2024-2025

Michel Le Bris (préface de)
Date de parution : 10/10/1995

L'ensemble de ces récits constitue un des plus fabuleux romans d'aventures maritimes jamais écrits.

Il y a la mer, dont on sait depuis Joseph Conrad qu'elle est une métaphore parfaite de l'âme humaine et de ses combats.
Il y a les navires, ces vaisseaux de...

Il y a la mer, dont on sait depuis Joseph Conrad qu'elle est une métaphore parfaite de l'âme humaine et de ses combats.
Il y a les navires, ces vaisseaux de ligne devenus légendes, cathédrales éphémères de planches et de voiles, à compter parmi les plus belles créations de l'esprit humain....

Il y a la mer, dont on sait depuis Joseph Conrad qu'elle est une métaphore parfaite de l'âme humaine et de ses combats.
Il y a les navires, ces vaisseaux de ligne devenus légendes, cathédrales éphémères de planches et de voiles, à compter parmi les plus belles créations de l'esprit humain. Cathédrales de bois, mais aussi bagnes flottants.
Il y a la guerre qui dure entre l'Angleterre et la France napoléonienne et, de la Baltique aux Antilles, la Marine de Sa Gracieuse Majesté qui s'acharne à faire tourner le vent de l'Histoire.
Il y a surtout Horatio Hornblower, anti-héros britannique timide et maladroit, dépourvu de tout instinct guerrier, mais que son intelligence, sa volonté, son obstination conduisent à l'héroïsme dans les combats cruciaux.
L'ensemble constitue un des plus fabuleux romans d'aventures maritimes jamais écrits, une suite en dix livres rassemblés par Omnibus en deux volumes et présentés pour la première fois selon la chronologie du récit.

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EAN : 9782258039629
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1140
Format : 13 x 19,8 mm
EAN : 9782258039629
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1140
Format : 13 x 19,8 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Chachoulog 07/07/2023
    Cette édition a réédité les oeuvres de Cecil Scott Forester en respectant la chronologie de l'histoire d'Horacio Hornblower, officier de marine à l'époque des guerres napoléoniennes. Dans ce second volume, Hornblower est déjà un homme des plus important dans l'Amirauté britanique. On continu de suivre ses aventures sur mer et sur terre. Ce volume est plus politique, plus proche de la grande Histoire, avec moins d'aventure maritime. Je suis seulement un peu déçu par la dernière partie, avec beaucoup moins d'aventure maritimes! Je recommande grandement les aventures du capitaine Hornblower aux amoureux de la mer et des aventures maritimes!
  • cleophas35 25/06/2023
    Les éditions Omnibus ont pris le parti de rééditer les oeuvres de Cecil Scott Forester en respectant la chronologie de leur héros, plutôt qu'en suivant l'ordre d'écriture des 9 romans qui composent l'histoire d'Horacio Hornblower, officier de marine à l'époque des guerres napoléoniennes. Dans ce second volume, Hornblower est déjà un homme remarqué par l'Amirauté. On suit ses aventures rocambolesques sur mer et sur terre qui lui permettent d'accéder au grade d'amiral. Moins marin que le premier volume, plus politique, plus proche de la grande Histoire, Hornblower devient une espèce de héros de Dumas, sauf qu'il est anglais et marin. Si Un vaisseau de ligne et Pavillon Haut m'ont paru de meilleure facture, l'ensemble des cinq romans ravira les amateurs de marine à voile, de romans d'aventures et de romans historiques. L'heureux lecteur passionné par ces trois genres sera transporté!
  • TmbM 02/08/2021
    Toujours très attaché à l'image qu'il renvoie et soucieux de correspondre à sa réputation de capitaine ferme mais juste, dont le sens aigu de la discipline, la maîtrise de la stratégie militaire et l'impassibilité face aux dangers lui ont permis de gravir les échelons de la Royal Navy, Hornblower dirige ses vaisseaux sans rien laisser transparaître des doutes qui l’accablent. En effet, s'il affiche le portrait d'un homme digne, droit, rigoureux et sûr de lui, il est rongé par l'incertitude, ravagé par la peur et il déteste autant la guerre qu'il est doué pour la mener. L'article complet sur Touchez mon blog, Monseigneur...
  • Levant 29/06/2021
    La Lydia entre en rade de Saint-Hélène. L'île aux mains des anglais n'est pas encore la geôle de Napoléon. Il s'en faut de quelques années seulement. Cette escale met fin à son périple retour du Pacifique, doublant le Cap Horn et ses flots enragés. La frégate est tout juste sortie victorieuse de son affrontement avec La Natividad, un galion de cinquante canons pris aux espagnols par le révolutionnaire en guenilles qui se faisait appeler pompeusement El Supremo, et finalement coulé par elle au large du Nicaragua. Il faut dire que Horatio Hornblower est un capitaine hors pair. Sous ses ordres la Lydia s'est acharnée autour du galion comme la mangouste sur le serpent. Les Espagnols venaient de se réconcilier avec les Anglais, leur ennemi d'hier, par la nécessité de mettre fin aux appétits du petit Corse teigneux qui a mis l'Europe sens dessus dessous. Il a favorisé contre lui des alliances de circonstance, forcément contre nature. Dans cet univers guerrier, univers d'hommes, il y a ce que Hornblower envisage comme une cargaison maudite, le clou dans sa chaussure à boucle, une menace plus redoutable à ses yeux qu'un galion ennemi de 50 canons. L'épreuve pour un capitaine taiseux qui règne en maître après Dieu sur navire et équipage : il y a une femme. Qui plus est une aristocrate. La Lydia doit ramener en Angleterre Lady Barbara. Elle a fui la contagion qui gagne l'Amérique centrale. Le prince des gaillards d'avant devient le serviteur d'une passagère dont on ne lui pardonnerait jamais d'écorner l'intégrité. Confrontation des classes sociales, des sexes, des culture et condition : le diable est à bord. Plaise à Dieu de ne pas fomenter de tentation aux perspectives inenvisageables tant le cloisonnement est étanche entre classes sociales en ce tout début de XIXème siècle. Le rang, la naissance commandent à la vie. Fût-il capitaine d'une frégate de sa gracieuse majesté, Hornblower est issu du peuple, un manant aux yeux d'une aristocrate. C'est avec une écriture d'une incroyable précision que Cecil Scott Forester incorpore son lecteur à l'équipage de cette frégate anglaise de 36 canons sur un seul pont. Le foisonnement des termes de marine témoigne de sa part d'une étonnante connaissance de la navigation et de la marine à voile en particulier. Le lecteur est littéralement pris dans le feu de l'action dans ce combat naval d'un autre temps. Les cinq sens en alerte à craindre les paquets de mer, la canonnade et ses acres fumées, l'enchevêtrement de cordage, de toiles, d'éclats de bois avec son inévitable lot de blessures sanglantes qui en ces temps et circonstances valent autant de condamnation à mort. Le mal de mer dans les brisants du cap, quand il n'y aura plus que lui, sera une sinécure après le fracas de la bataille. L'heureux retour, premier tome de ce qui deviendra une série sous la plume de Cecil Scott Forester est surprenant de réalisme, de mise en situation du lecteur avec sa minutieuse restitution du contexte historique tant pour son environnement matériel que pour la psychologie des personnages engoncés dans leur classe sociale respective. Écriture précise, efficace que ce style sans ambages dépourvu de métaphores. Une véritable immersion historique et romanesque du lecteur dans l'univers d'un héros dont le caractère à la fois sévère et emprunté a trouvé grâce à mes yeux. A bien chercher, on trouve l'homme sous le bicorne de l'officier de marine. Je suis sûr de croiser à nouveau sa route sur les océans dans un autre ouvrage de Cecil Scott Forester. Il a fait d'Hornblower un personnage récurrent, à suivre contre vents et marées. La Lydia entre en rade de Saint-Hélène. L'île aux mains des anglais n'est pas encore la geôle de Napoléon. Il s'en faut de quelques années seulement. Cette escale met fin à son périple retour du Pacifique, doublant le Cap Horn et ses flots enragés. La frégate est tout juste sortie victorieuse de son affrontement avec La Natividad, un galion de cinquante canons pris aux espagnols par le révolutionnaire en guenilles qui se faisait appeler pompeusement El Supremo, et finalement coulé par elle au large du Nicaragua. Il faut dire que Horatio Hornblower est un capitaine hors pair. Sous ses ordres la Lydia s'est acharnée autour du galion comme la mangouste sur le serpent. Les Espagnols venaient de se réconcilier avec les Anglais, leur ennemi d'hier, par la nécessité de mettre fin aux appétits du petit Corse teigneux qui a mis l'Europe sens dessus dessous. Il a favorisé contre lui des alliances de circonstance, forcément contre nature. Dans cet univers guerrier, univers d'hommes, il y a ce que Hornblower envisage comme une cargaison maudite, le clou dans sa chaussure à boucle, une menace plus redoutable à ses yeux qu'un galion ennemi de 50 canons. L'épreuve pour un capitaine taiseux qui règne en...
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  • jgcentauro 16/06/2021
    c'est excellent , les détails de la vie en mer et de l'organisation d'un navire sont très recherchés , les combats magnifiquement relatés et le coté humain n'est pas négligé . C'est équivalent en qualité aux aventures de Jacques Belmonte , qui lui a l'avantage d'être du coté Francais.
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