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La Trilogie martienne - Nouv. ed.
Date de parution : 16/02/2012
Éditeurs :
Omnibus

La Trilogie martienne - Nouv. ed.

Date de parution : 16/02/2012

 Cette trilogie constitue un éco-thriller palpitant qui a été honorée de nombreux et prestigieux prix littéraires.

Demain. Cent pionniers s'envolent pour Mars. Ils devront l'explorer, survivre sur cette planète usée et hostile.
Si l'homme ne peut s'y adapter, il faudra adapter Mars à l'homme :: créer...

Demain. Cent pionniers s'envolent pour Mars. Ils devront l'explorer, survivre sur cette planète usée et hostile.
Si l'homme ne peut s'y adapter, il faudra adapter Mars à l'homme :: créer l'atmosphère, bâtir les cités, transformer les déserts en prairies, la glace en océans. Par-delà les difficultés ou les conflits idéologiques,...

Demain. Cent pionniers s'envolent pour Mars. Ils devront l'explorer, survivre sur cette planète usée et hostile.
Si l'homme ne peut s'y adapter, il faudra adapter Mars à l'homme :: créer l'atmosphère, bâtir les cités, transformer les déserts en prairies, la glace en océans. Par-delà les difficultés ou les conflits idéologiques, c'est un monde nouveau que l'on invente. Jusqu'à l'émancipation de la tutelle d'une Terre de moins en moins souveraine. 


Kim Stanley Robinson a consacré presque deux décennies à ses recherches sur Mars, en abordant des domaines aussi variés que l’astrophysique, l’économie, la sociologie, la physique des matériaux ou la botanique. Cette Trilogie martienne, saluée dès sa parution comme une œuvre visionnaire, couronnée par les plus prestigieux prix littéraires (Hugo, Nebula, British SF Award, Locus, etc.) est ici réunie pour la première fois en un seul volume.

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EAN : 9782258092532
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1664
Format : 132 x 198 mm
EAN : 9782258092532
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1664
Format : 132 x 198 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Lamifranz 10/09/2022
    Si le terme « science-fiction » peut être appliqué pleinement à une œuvre, c’est bien celle-ci. Le mot est souvent galvaudé : parfois la science est tout-à-fait superficielle, et la fiction prend le pas sur tout autre considération : « Starwars », « Startrek », « Starship troopers », « Alien », sont certes de magnifique réussites cinématographiques, télévisuelles et même parfois littéraires, mais il faut bien le reconnaître, c’est souvent la transposition dans l’espace de genres purement terrestres comme le western, le polar, ou l’horreur… le côté scientifique tient plus du Playmobil, du Lego ou du Meccano (ce n’est pas forcément péjoratif), que des recherches de la Nasa. Ce qui n’enlève rien bien sûr à l’intérêt de ces productions qui, dans leur genre, sont également des chefs-œuvre. Kim Stanley Robinson (né en 1952) est devenu, grâce à la « Trilogie martienne » et quelques autres ouvrages, un des grands noms de la SF. « Mars la Rouge » (1992), « Mars la Verte » (1995), et « Mars la bleue » (1996) forment un ensemble très cohérent qui raconte l’exploration, la colonisation et la terraformation de la planète Mars, sur un peu plus de deux cents ans, mais pas forcément plusieurs générations, parce que la science ayant fait d’énormes progrès, les gens vivent très longtemps. « Mars la Rouge » : En 2026 commence la première colonisation de Mars. Une centaine de Terriens font le pari d’explorer cette planète aride et hostile… et d’y survivre. « Si l’homme ne peut s’y adapter, il faudra adapter Mars à l’homme ». C’est ce qu’on appelle la terraformation : création d’une atmosphère, des cités, transformation des déserts en terres arables, des glaces en océan, etc. Et au-delà de ce défi scientifique, la cohabitation et la mise en place d’une société, avec ses contradictions et ses conflits, parfois violents. La terraformation a ses partisans et ses opposants. Ceux-ci multiplient les sabotages et déclenchent même une révolution… « Mars la Verte » : le nom vient de la re-création du système végétal, partie primordiale de la terraformation. On suit l’histoire des premiers colons (ceux qui ont survécu à la première révolution) jusqu’en 2120 date d’une deuxième révolution. L’époque est marquée par une montée des eaux suite à une éruption volcanique dans l’Antarctique martien. « Mars la Bleue » : cette partie, la plus longue de la trilogie, traite plus particulièrement de l’émancipation par rapport à la Terre, et la mise en place de l’exploration de tout le système solaire. Comme on le voit, à travers l’histoire d’une planète (et quelle planète !) c’est une partie de « l’histoire du futur » que nous raconte l’auteur, une histoire que n’auraient pas reniée Heinlein, ou Asimov, ou Arthur C. Clarke. Nous l’avons dit, le côté scientifique et technologique est à l’honneur (Robinson a mis six ans à récolter tous les renseignements utiles sur le sujet), mais le tour de force de l’auteur est d’inclure tous les éléments économiques, écologiques, sociologiques, politiques, moraux et religieux, en plus des éléments d’astrophysique, de botanique, ou de physique des matériaux. Une œuvre colossale, dont la portée est immense. Pour les amateurs de science-fiction, et pour tous les autres, (si vous ne connaissez pas, c’est le genre de bouquin idéal pour une initiation, même si le côté technique peut rebuter un peu), « La Trilogie martienne » est incontournable ! Si le terme « science-fiction » peut être appliqué pleinement à une œuvre, c’est bien celle-ci. Le mot est souvent galvaudé : parfois la science est tout-à-fait superficielle, et la fiction prend le pas sur tout autre considération : « Starwars », « Startrek », « Starship troopers », « Alien », sont certes de magnifique réussites cinématographiques, télévisuelles et même parfois littéraires, mais il faut bien le reconnaître, c’est souvent la transposition dans l’espace de genres purement terrestres comme le western, le polar, ou l’horreur… le côté scientifique tient plus du Playmobil, du Lego ou du Meccano (ce n’est pas forcément péjoratif), que des recherches de la Nasa. Ce qui n’enlève rien bien sûr à l’intérêt de ces productions qui, dans leur genre, sont également des chefs-œuvre. Kim Stanley Robinson (né en 1952) est devenu, grâce à la « Trilogie martienne » et quelques autres ouvrages, un des grands noms de la SF. « Mars la Rouge » (1992), « Mars la Verte » (1995), et « Mars la bleue » (1996) forment un ensemble très cohérent qui raconte l’exploration, la colonisation et la terraformation de la planète Mars, sur un peu plus de deux cents ans, mais pas forcément...
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  • Littlesebastian 06/02/2021
    J'ai beaucoup appréciée la trilogie de Mars: l'évolution de cette planète et des gens qui l'habitent. C'est le livre le plus "hard science" que j'ai lu et en effet il faut s'accrocher. Les termes techniques sont récurrents, ce qui peut rendre le texte un peu lourd à digérer. Cependant cela démontre un soucis du détails concernant la terraformation de Mars. Je crois avoir lu que l'auteur avait passé 17 ans à étudier cette planète. C'est dire s'il en connait un rayon! Je trouve qu'il est arrivé à nous transmettre son amour de la planète rouge. Le déroulé de l'histoire est tout à fait crédible et certaines scènes sont hautes en couleurs.
  • FloraLalix 08/09/2020
    Mars c'est le grand rêve spatial actuel. Peut-être est-ce un roman prémonitoire ?
  • MagicJoe 05/02/2020
    Je ne m'étendrai pas en détails ici vu que je l'ai fait pour chaque tome de la trilogie sur leurs pages dédiées. Cette trilogie est un chef d'œuvre du début à la fin que je relirai à coup sûr. C'est intéressant, intelligent et particulièrement bien écrit.
  • Haulle 08/11/2019
    Une incroyable trilogie, dans cette belle collection d'Omnibus, où le rêve fou de terraformer mars, se confronte à l'ambivalence humaine, d'à la fois modifier son environnement à sa convenance en mobilisant une géo-ingénierie pour rendre cette planète habitable au delà des dômes où se concentrent les premiers colons et de l'autre être épris d'un besoin de conserver cet univers minéral dans son état original, car oui, même un environnement minéral et sans vie (en est-on certain ?), mérite qu'on le préserve du développement sans fin des cités humaines. Une très belle projection de nos tourments terrestres à l'autre bout du système solaire. Imagination stimulée garantie.
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