Lisez! icon: Search engine
Le boudin sacré
Jacques Pessis (préface de)
Date de parution : 25/09/2014
Éditeurs :
Omnibus

Le boudin sacré

,

Jacques Pessis (préface de)
Date de parution : 25/09/2014
Les premiers épisodes, inédits, du Boudin sacré, première saison du fameux feuilleton diffusé sur Europe 1 à partir d'octobre 1956
L'obelisque de la Concorde a disparu, remplacé par une imitation en staff... Pareil pour le Lion de Belfort, les grilles de la place Stanislas à Nancy... Qui a volé ces... L'obelisque de la Concorde a disparu, remplacé par une imitation en staff... Pareil pour le Lion de Belfort, les grilles de la place Stanislas à Nancy... Qui a volé ces monuments que le monde entier nous envie ? Cet ignoble forfait serait-il...
SIGNÉ FURAX ?
Les détectives Black and White et leurs...
L'obelisque de la Concorde a disparu, remplacé par une imitation en staff... Pareil pour le Lion de Belfort, les grilles de la place Stanislas à Nancy... Qui a volé ces monuments que le monde entier nous envie ? Cet ignoble forfait serait-il...
SIGNÉ FURAX ?
Les détectives Black and White et leurs amis mènent l'enquête, qui les conduira sur la piste du Goudgouz, le Boudin sacré qu'adore l'étrange secte des Babus...
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782258113947
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258113947
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • gill 11/03/2013
    Les deux auteurs, n'écoutant que leur courage, vont dans ce livre révéler au monde, horrifié, toute la vérité, tous les détails des agissements, trop souvent criminels, du plus grand de tous les aventuriers du monde. Furax...! Edmond Furax...! On ose à peine prononcer son nom. Pierre Dac et Francis Blanche nous offrent, ici, l'adaptation écrite de "Malheur aux barbus !", le feuilleton radiophonique qu'ils "commirent" dans les années 50 sur Paris-Inter de la radiodiffusion-télévision française et repris quelques années plus tard sur Europe 1. Tout débute comme une mauvaise blague d'ivrogne, dans la nuit du 15 octobre, place de la Concorde. Un gardien de la paix interpelle Quentin Vicomte, passablement aviné, prisonnier derrière les grilles de l'Obélisque et qui a passé son bras à travers ce dernier. L'Obélisque n'est plus en pierre, il a été subtilisé et remplacé par une imitation en staff. Le crime, bientôt suivi par d'autres, de plus en plus audacieux, est signé. "Furax", le mystérieux criminel est de retour. Il souffle un vent de panique sur le ministère des affaires culturelles. Fouvreaux, le patron de la D.D.T., la défense divisionnaire du territoire, s'associe, pour l'enquête, au commissaire Socrate, l'as de la P.J. et Black "and" White, les deux fameux détectives qui ont combattu, autrefois, l'esprit du mal sont aussi de la partie..... Calembours, contrepèteries, jeux de mots douteux et fantaisie débridée sont au programme. Francis Blanche et Pierre Dac, les deux compères du fameux sketch "Le sâr Rabindranath Duval" sont aux commandes. Ce roman est le premier d'une série qui en compte sept et qui reprend les scripts des différentes saisons du feuilleton. En 1981, une comédie burlesque, qui comprenait une distribution d'acteurs impressionnante, reprenait cet épisode du "Boudin sacré" pour une adaptation cinématographique. Les deux créateurs de "Signé Furax", rigolards, signent une grande réussite qui ne se prend pas au sérieux.Les deux auteurs, n'écoutant que leur courage, vont dans ce livre révéler au monde, horrifié, toute la vérité, tous les détails des agissements, trop souvent criminels, du plus grand de tous les aventuriers du monde. Furax...! Edmond Furax...! On ose à peine prononcer son nom. Pierre Dac et Francis Blanche nous offrent, ici, l'adaptation écrite de "Malheur aux barbus !", le feuilleton radiophonique qu'ils "commirent" dans les années 50 sur Paris-Inter de la radiodiffusion-télévision française et repris quelques années plus tard sur Europe 1. Tout débute comme une mauvaise blague d'ivrogne, dans la nuit du 15 octobre, place de la Concorde. Un gardien de la paix interpelle Quentin Vicomte, passablement aviné, prisonnier derrière les grilles de l'Obélisque et qui a passé son bras à travers ce dernier. L'Obélisque n'est plus en pierre, il a été subtilisé et remplacé par une imitation en staff. Le crime, bientôt suivi par d'autres, de plus en plus audacieux, est signé. "Furax", le mystérieux criminel est de retour. Il souffle un vent de panique sur le ministère des affaires culturelles. Fouvreaux, le patron de la D.D.T., la défense divisionnaire du territoire, s'associe, pour l'enquête, au commissaire Socrate, l'as de la P.J. et Black "and" White, les deux fameux détectives...
    Lire la suite
    En lire moins
  • annie 21/04/2009
    Le comédien Philippe Nicaud est mort à l'âge de 82 ans dans la nuit de samedi à dimanche dans le sud de la France, a annoncé mardi 21 avril à l'AFP son agent Jean-Pierre Noël. *** souvenir de lecture... et de feuilleton radiophonique bien lointain... *** L'intérêt de "Signé Furax" vient de ce que l'œuvre ressort tout autant du roman populaire, de l'aventure à suspense, voire de la science-fiction, que de la parodie de genre et de l'humour langagier (calembours, contrepèteries et allusions grivoises). A cela s'ajoute enfin une fantaisie constante et un univers empreint d'invention poétique. Cette œuvre met en scène les détectives Black et White dans leur lutte contre les agissements d'un génie du mal, le redoutable criminel Edmond Furax. Le feuilleton fut créé pendant l’été 1951 par Pierre Dac et Francis Blanche réunis dans la maison de vacances que ce dernier possédait à Eze dans l’arrière-pays niçois[3]. Les deux compères venaient de triompher dans "Sans Issue" une revue présentée à plus de 600 reprises au théâtre des Trois-Baudets[4] dirigé par Jacques Canetti. Francis Blanche, grand amateur de roman populaire, a l'idée de réaliser pour la radio du "Fantômas à la sauce loufoque", le loufoque étant cette forme d'humour pratiquée par Pierre Dac (auto-proclamé "roi des loufoques") et diffusée sans sa revue l'Os à Moelle. L'idée du nom de Furax viendrait de Dac[5]. De cette collaboration, naquit Malheur aux Barbus diffusé dès la rentrée suivante sur les ondes de la chaîne parisienne. A l'origine, c’est Serge Reggiani, alors au faîte de sa gloire, qui fut pressenti pour prêter sa voix à Furax. Celui-ci étant trop pris ou trop cher, le rôle en fut finalement confié au jeune Jean-Marie Amato. Le feuilleton s'acheva en juin 1952 et n'a pas été renouvelé par les responsables de la chaîne[6]. Cependant, quatre ans plus tard en 1956, Pierre Dac et Francis Blanche sont contactés par Lucien Morisse, directeur artistique d’Europe n°1, station crée en 1955 et dirigée par Louis Merlin. Lucien Morisse leur propose de créer un feuilleton pour la rentrée[7]. C'est ainsi qu'est conçu un nouveau feuilleton reprenant les personnages principaux de Malheur aux Barbus, sous le nom générique de "Signé Furax". Quelques modifications sont apportées aux personnages : ainsi, le professeur Merry Christmas devient professeur Hardy-Petit, le journaliste Fred Transport disparaît, cédant sa place à l’électronicien Théo Courant dans le cœur de Carole, la fille du professeur. Ce fut aussi une entreprise familiale où apparaissent Claude Grégory, sévère directeur littéraire à la ville mais aussi beau-frère de F. Blanche: il est "conseiller criminel" de certaines productions. De même Jean-Marie Blanche, le fils de Francis apparait dans de nombreux épisodes. Le comédien Philippe Nicaud est mort à l'âge de 82 ans dans la nuit de samedi à dimanche dans le sud de la France, a annoncé mardi 21 avril à l'AFP son agent Jean-Pierre Noël. *** souvenir de lecture... et de feuilleton radiophonique bien lointain... *** L'intérêt de "Signé Furax" vient de ce que l'œuvre ressort tout autant du roman populaire, de l'aventure à suspense, voire de la science-fiction, que de la parodie de genre et de l'humour langagier (calembours, contrepèteries et allusions grivoises). A cela s'ajoute enfin une fantaisie constante et un univers empreint d'invention poétique. Cette œuvre met en scène les détectives Black et White dans leur lutte contre les agissements d'un génie du mal, le redoutable criminel Edmond Furax. Le feuilleton fut créé pendant l’été 1951 par Pierre Dac et Francis Blanche réunis dans la maison de vacances que ce dernier possédait à Eze dans l’arrière-pays niçois[3]. Les deux compères venaient de triompher dans "Sans Issue" une revue présentée à plus de 600 reprises au théâtre des Trois-Baudets[4] dirigé par Jacques Canetti. Francis Blanche, grand amateur de roman populaire, a l'idée de réaliser pour la radio du "Fantômas à la sauce loufoque", le loufoque étant cette forme d'humour pratiquée par Pierre Dac (auto-proclamé...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous et recevez toute l'actualité des éditions OMNIBUS
Revivez chaque mois les chefs-d'œuvre classiques et populaires.