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Le cas de l'inspecteur Queen
Simone Lechevrel (traduit par)
Date de parution : 10/04/2014
Éditeurs :
Omnibus

Le cas de l'inspecteur Queen

Simone Lechevrel (traduit par)
Date de parution : 10/04/2014

Une enquête d'Ellery Queen, un des plus grands noms de la littérature policière du XXe siècle.

Une enquête d'Ellery Queen, un des plus grands noms de la littérature policière du XXe siècle.

Jeune retraité de la police, l'ex-inspecteur Richard Queen s'ennuie. Sa rencontre avec une jeune nurse...

Une enquête d'Ellery Queen, un des plus grands noms de la littérature policière du XXe siècle.

Jeune retraité de la police, l'ex-inspecteur Richard Queen s'ennuie. Sa rencontre avec une jeune nurse bouleversée par la mort d'un bébé dont elle avait la garde l'amène à reprendre du service. Accident ? Il flaire...

Une enquête d'Ellery Queen, un des plus grands noms de la littérature policière du XXe siècle.

Jeune retraité de la police, l'ex-inspecteur Richard Queen s'ennuie. Sa rencontre avec une jeune nurse bouleversée par la mort d'un bébé dont elle avait la garde l'amène à reprendre du service. Accident ? Il flaire du louche. Une intuition géniale de son fils Ellery va lancer l'enquête...

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EAN : 9782258109766
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258109766
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • collectifpolar 25/08/2020
    À la retraite, Richard Quinn s'ennuie à mourir. Il passe quelques semaines chez des amis et rencontre sur une plage privée de Nair Island une charmante neuf à la cinquantaine pimpante qui le produit le plus grand effet. Le bébé quelle garde à été adopté par ses patrons grâce à un pourvoyeur d'enfant plutôt louche. Or voilà que le bébé est découvert étouffé dans son berceau. Pour aider sa nouvelle amie Richard Quinn l'enquête à son compte. Un roman charmant où est Ellery n'apparaît pas du tout. C'est donc Richard qui enquête ici avec les bonnes vieilles méthodes de la police new-yorkaise et avec comme lui quelques vieux amis retraités. L'intrigue est intéressante le poisson tu râles d'avant-garde puisqu'il est question de mère porteuse en 1957. Et oui vous avez bien entendu 1957. Un suspens bien mené qui vous tient en haleine jusqu'au bout. Et cerise sur le gâteau notre inspecteur Queen amoureux et timide comme un collégien rajoute un côté vraiment très attendrissant à cette sombre histoire
  • hellrick 12/06/2020
    Agé de 63 ans, l’inspecteur Richard Queen a atteint l’âge de la retraite et son célèbre fiston, Ellery, effectue un tour du monde. Pourtant, difficile de lâcher les enquêtes et il est bien temps que le vénérable flic bénéficie, après toutes ces années, d’une enquête bien à lui et rien qu’à lui ! Alors qu’il séjourne chez un de ses amis, chef de la police d’une petite localité, il est amené à l’aider sur une sale histoire survenue dans la petite ile privée de Nair Island où réside la riche famille Humphrey. Ces derniers viennent d’adopter un bébé souvent confié aux bons soins de Jessie Sherwood, leur nurse. Or, de retour dans la maison après une journée de congé, Jessie découvre le petit mort étouffé dans son lit. Un accident en apparence. Mais Jessie affirme avoir vu, sur le coussin ayant causé le décès, l’empreinte d’une main…Il ne s’agirait donc pas d’un accident mais bien d’un meurtre. Personne ne croit la nurse, excepté Richard Queen qui va mener l’enquête. Situé dans les années ’50, juste après la guerre de Corée, LE CAS DE L’INSPECTEUR QUEEN se situe à la croisée des genres, entre les romans d’énigme très complexes élaborés par les cousins cachés sous le pseudo collectif d’Ellery Queen au début des années ’30 et le polar plus moderne et musclé (relativement bien sûr, nous ne sommes pas chez Mickey Spillane) de leur seconde partie de carrière. Nous suivons donc les investigations de l’inspecteur retraité qui noue, en prime, une romance avec la seule témoin. L’improbable couple remonte donc la piste des criminels jusqu’à un dénouement quelque peu attendu en dépit des nombreuses circonvolutions qui y mènent et de plusieurs retournement de situation. Bien ancré dans son époque, celle des fifties américaines, riche de rebondissements et servi par un style fluide et prenant, LE CAS DE L’INSPECTEUR QUEEN constitue un bon whodunit qui a tout du classique dans le bon sens du terme. Agé de 63 ans, l’inspecteur Richard Queen a atteint l’âge de la retraite et son célèbre fiston, Ellery, effectue un tour du monde. Pourtant, difficile de lâcher les enquêtes et il est bien temps que le vénérable flic bénéficie, après toutes ces années, d’une enquête bien à lui et rien qu’à lui ! Alors qu’il séjourne chez un de ses amis, chef de la police d’une petite localité, il est amené à l’aider sur une sale histoire survenue dans la petite ile privée de Nair Island où réside la riche famille Humphrey. Ces derniers viennent d’adopter un bébé souvent confié aux bons soins de Jessie Sherwood, leur nurse. Or, de retour dans la maison après une journée de congé, Jessie découvre le petit mort étouffé dans son lit. Un accident en apparence. Mais Jessie affirme avoir vu, sur le coussin ayant causé le décès, l’empreinte d’une main…Il ne s’agirait donc pas d’un accident mais bien d’un meurtre. Personne ne croit la nurse, excepté Richard Queen qui va mener l’enquête. Situé dans les années ’50, juste après la guerre de Corée, LE CAS DE L’INSPECTEUR QUEEN se situe à la croisée des genres, entre les romans d’énigme très complexes élaborés par les...
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  • HORUSFONCK 09/09/2016
    Un bel hommage à l'inspecteur Richard Queen. Cette enquête est la sienne, et le cher homme s'avère encore un fin limier. Bon sang ne peut mentir!
  • verogo 14/03/2015
    ce petit roman des éditions Bibliomnibus est une agréable découverte ,débutant par une intrigue pouvant sembler assez simpliste,mettant en scène un coupable tout trouvé ,elle se complexifie agréablement au fil des pages. Le récit est fluide,sans trop de personnages ,impossible donc de s'y perdre ,les sentiments partagés par les deux héros ont certes un parfum un peu suranné(on est loin en effet des opus de 50 nuances de Grey )mais tout cela est décrit avec finesse et retenue et même si les protagonistes sont un tantinet désuets ,ce qui ne sera pas pour déplaire à certains lecteurs ,on passe en leur compagnie un agréable moment où l'on respire les douces effluves du temps passé
  • Lilou08 07/03/2015
    J’aime beaucoup les polars et les thrillers, ce sont même mes lectures préférées, mais je ne connaissais pas Ellery Queen (pseudonyme collectif utilisé par deux écrivains américains, Manford (Emanuel) Lepofsky, alias Manfred Bennington Lee (1905–1971) et Daniel Nathan, alias Frederic Dannay (1905–1982)). Je remercie donc les éditions omnibus et Babélio qui m’ont envoyé « Le cas de l'inspecteur Queen » dans le cadre de l’opération Masse Critique, qui je le redis encore une fois, tant pis je me répète, est vraiment une excellente initiative. Merci merci. Non je ne me suis pas trompée, l’auteur est bien Ellery Queen et le titre « Le cas de l’inspecteur Queen » du même nom. C’est ainsi. Les auteurs ont choisi le même patronyme pour leur pseudo et leur « héro ». En me renseignant un peu, je me suis aperçue qu’en fait, la série « Queen » a comme policier récurrent le jeune inspecteur Ellery Queen, or dans ce polar le personnage principal est son père, Richard Queen, inspecteur de police aussi, tout juste à la retraite. Qui s’ennuie profondément. Pendant l’absence de son fils, il est en vacances chez des amis, les Pearl, dont Abe qui est… vous l’aurez deviné, policier. C’est une grande histoire de famille. En se promenant il fait la rencontre d’une nurse, Jessie Sherwood, chargée de s’occuper d’un beau petit bébé, Michael, nouvellement adopté par une famille très riche, les Humffrey. Cet homme vieillissant, solitaire et inactif, a le cœur qui se met à battre pour cette belle femme, encore jeune… mais bien sûr, vu son âge, il essaie de s’interdire toute rêverie romantique à son encontre. Quelques jours plus tard, au grand désespoir de Jessie Sherwood, le bébé est retrouvé mort alors qu’elle revenait de quelques jours passés à l’extérieur de la propriété. Une taie d’oreiller tachée lui fait penser immédiatement que le bébé a été assassiné, étouffé. Mais cette taie d’oreille disparait mystérieusement… Une longue enquête se met en place, où aucune preuve ne vient plus étayer la piste du crime. Et l’affaire est classée comme accidentelle. Sauf pour Jessie Sherwood et l’ex-inspecteur Queen qui vont se lancer avec leurs propres moyens dans une enquête secrète pour trouver l’assassin. D’autres cadavres vont se retrouver sur leur long chemin vers la vérité. Ce polar est bien écrit, l’intrigue bien pensée, mais j’ai trouvé, personnellement, le rythme un peu lent. On s’attache surtout aux difficultés auxquelles se heurtent ces deux personnes qui mènent l’enquête, sans les moyens officiels de la police, même si l’ex-inspecteur Queen a encore ses entrées. Et en parallèle, on suit également la psychologie de la rencontre de deux solitudes, qui ont trop de pudeur pour s’avouer l’attirance mutuelle qu’ils éprouvent l’un pour l’autre. Souvent, l’enquête n’est que secondaire. Je pense que c’est peut-être une manière plus ancienne d’écrire les polars (publication de ce livre en 1956). Il est vrai que maintenant on est plus habitué à des intrigues qui « pulsent », très rythmées… que je préfère personnellement. Cela n’enlève en rien à la qualité du récit d’Ellery Queen que je suis heureuse d’avoir découvert. J’aime beaucoup les polars et les thrillers, ce sont même mes lectures préférées, mais je ne connaissais pas Ellery Queen (pseudonyme collectif utilisé par deux écrivains américains, Manford (Emanuel) Lepofsky, alias Manfred Bennington Lee (1905–1971) et Daniel Nathan, alias Frederic Dannay (1905–1982)). Je remercie donc les éditions omnibus et Babélio qui m’ont envoyé « Le cas de l'inspecteur Queen » dans le cadre de l’opération Masse Critique, qui je le redis encore une fois, tant pis je me répète, est vraiment une excellente initiative. Merci merci. Non je ne me suis pas trompée, l’auteur est bien Ellery Queen et le titre « Le cas de l’inspecteur Queen » du même nom. C’est ainsi. Les auteurs ont choisi le même patronyme pour leur pseudo et leur « héro ». En me renseignant un peu, je me suis aperçue qu’en fait, la série « Queen » a comme policier récurrent le jeune inspecteur Ellery Queen, or dans ce polar le personnage principal est son père, Richard Queen, inspecteur de police aussi, tout juste à la retraite. Qui s’ennuie profondément. Pendant l’absence de son fils, il est en vacances chez des amis, les Pearl, dont Abe qui est… vous l’aurez deviné, policier. C’est une...
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