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Les Trois Mousquetaires : Vingt ans après (NE)
Claude Aziza (préface de)
Date de parution : 28/03/2013
Éditeurs :
Omnibus

Les Trois Mousquetaires : Vingt ans après (NE)

Claude Aziza (préface de)
Date de parution : 28/03/2013

"Tous pour un, un pour tous". L'histoire des Trois Mousquetaires qui sont en fait quatre. Des héros inoubliables qui partagent avec leur créateur, Alexandre Dumas le Grand, une immortalité bien gagnée.

Souvenez-vous. Les ferrets de la reine Anne d'Autriche, le duc de Buckingham, les perfidies de Richelieu, le siège de La Rochelle. Et, vingt ans après, l'autre cardinal, la Fronde, l'Angleterre...

Souvenez-vous. Les ferrets de la reine Anne d'Autriche, le duc de Buckingham, les perfidies de Richelieu, le siège de La Rochelle. Et, vingt ans après, l'autre cardinal, la Fronde, l'Angleterre de Cromwell, l'exécution de Charles 1er...
Cette Histoire-là est inoubliable. Elle reste dans nos mémoires, revivifiée pour l'éternité par la présence...

Souvenez-vous. Les ferrets de la reine Anne d'Autriche, le duc de Buckingham, les perfidies de Richelieu, le siège de La Rochelle. Et, vingt ans après, l'autre cardinal, la Fronde, l'Angleterre de Cromwell, l'exécution de Charles 1er...
Cette Histoire-là est inoubliable. Elle reste dans nos mémoires, revivifiée pour l'éternité par la présence des héros d'Alexandre Dumas, ces trois mousquetaires qui sont quatre - " tous pour un, un pour tous " -, par la magie de ces romans où vibrent, à l'infini, dans le fracas des chevauchées et des épées, la fougue de la jeunesse, le goût de l'aventure, la force de l'amitié, la nostalgie du temps qui passe, la mort qui rôde, aussi, portée par les vents contraires des grands événements.


C'est le théâtre qui avait fait d'abord la gloire de Dumas. On découvrira ici La Jeunesse des mousquetaires qu'il adapta pour la scène en 1849.


Préface de Claude Aziza

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EAN : 9782258100541
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1408
Format : 132 x 198 mm
EAN : 9782258100541
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1408
Format : 132 x 198 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Djinn76 11/04/2024
    Bon, j'avoue, j'ai replongé ! Cette fois, si j'ai acheté ce roman, ce n'était pas nécessairement pour les enfants. Ayant récemment (re)-découvert les Trois Mousquetaires, j'avais hâte de découvrir la suite… 900 pages à lire exclusivement en soirée, je ne suis pas fâché d'avoir terminé, le manque de sommeil commence à se faire sentir… C'est que l'histoire est tellement prenante qu'il est vraiment difficile de s'en extraire. Verdict ? Cette fois, je n'aurai vraiment aucuns scrupules à faire passer ce livre dans les mains de ma fille…on est dans un roman de cape et d'épée pur et dur, l'aspect libertin est nettement moins présent que dans l'opus précédent ! Le thème au menu cette fois-ci, c'est la vengeance ! Mordaunt, le fils de Milady, qui n'a vu sa mère en tout et pour tout que trois fois dans sa vie, est bien décidé à la venger envers et contre tout ! Sa haine est aussi dirigée vers le roi d'Angleterre, Charles 1er, qui l'a plus ou moins déshérité dans l'histoire. Au final, tout est bien qui finit presque bien… il sera parvenu à accomplir sa vengeance mais uniquement envers des personnages secondaires que sont le bourreau de Béthune, son oncle, Lord de Winter …et le roi Charles 1er ! Nos 4 mousquetaires s'en sortiront sains et saufs malgré une tentative d'assassinat spectaculaire ! L'amour du Porto leur aura sauvé la vie et Mordaunt périra peu après… L'histoire aurait pu s'arrêter là et ça aurait été parfait ! Malheureusement, un peu comme dans un show TV (il parait qu'à la base, c'était publié comme feuilleton), on a droit à la saison de trop ! Il faut encore compter sur une centaine de pages nettement moins captivantes…je me suis même demandé un moment si Dumas n'irait pas jusqu'à ressusciter Mordaunt pour un rebondissement inattendu. Hélas non ! Il est juste question d'emprisonnement et d'enlèvement pour qu'au final, nos mousquetaires soient enfin reconnus à leur juste valeur… Seul autre regret, l'édition Folio et sa fonte de caractère minuscule… Bon, j'avoue, j'ai replongé ! Cette fois, si j'ai acheté ce roman, ce n'était pas nécessairement pour les enfants. Ayant récemment (re)-découvert les Trois Mousquetaires, j'avais hâte de découvrir la suite… 900 pages à lire exclusivement en soirée, je ne suis pas fâché d'avoir terminé, le manque de sommeil commence à se faire sentir… C'est que l'histoire est tellement prenante qu'il est vraiment difficile de s'en extraire. Verdict ? Cette fois, je n'aurai vraiment aucuns scrupules à faire passer ce livre dans les mains de ma fille…on est dans un roman de cape et d'épée pur et dur, l'aspect libertin est nettement moins présent que dans l'opus précédent ! Le thème au menu cette fois-ci, c'est la vengeance ! Mordaunt, le fils de Milady, qui n'a vu sa mère en tout et pour tout que trois fois dans sa vie, est bien décidé à la venger envers et contre tout ! Sa haine est aussi dirigée vers le roi d'Angleterre, Charles 1er, qui l'a plus ou moins déshérité dans l'histoire. Au final, tout est bien qui finit presque bien… il sera parvenu à accomplir sa vengeance mais uniquement envers des personnages secondaires que sont le bourreau de Béthune, son oncle, Lord de...
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  • lasixiemepage_Sandy 21/03/2024
    La suite des Trois Mousquetaires ! Athos, Porthos, Aramis et d’Artagnan se retrouvent vingt ans après le premier tome dans de palpitantes aventures. Nos chers amis vont, encore une fois, être au cœur de complots politiques. La Fronde et la Révolution d’Angleterre ne laissent pas de répit aux quatre courageux gentilshommes. D’anciens personnages se mêlent à de nouvelles rencontres pour notre plus grand plaisir et on fait la connaissance du jeune Vicomte de Bragelonne que j’ai déjà hâte de suivre dans le tome suivant ! Encore un livre de Dumas que j’ai adoré ! Je l’ai trouvé à la hauteur du premier, avec au programme : vengeance, trahison, combats et amitié… Tout ce que l’on aime ! #9876;️
  • MartinEden87 31/01/2024
    « Vingt ans » ont passé depuis les événements narrés dans « Les trois mousquetaires ». D’Artagnan n’a eu comme unique avancement, l’attribution du rang de lieutenant des mousquetaires. Au service de l’impopulaire cardinal Mazarin, pour lequel il n’éprouve pas une grande sympathie, mais qu’il est obligé de servir à cause de son serment à l’égard de la régente. Ce dernier va lui demander de retrouver ses anciens compagnons : Athos, Porthos et Aramis dans le but d’une mission spéciale. Dans un royaume divisé par la Fronde des princes et du parlement ; D’Artagnan va découvrir que si certains de ses anciens compagnons de fortune sont passés dans le camp adverse. Une fois les quatre réunis, leur amitié indéfectible renaît, et dans l’adversité se resserrent les liens que les troubles en France et dans l’Angleterre de Cromwell ne sauront défaire. Plus que dans l’aventure précédente, « Vingt ans après » illustre à merveille la fameuse devise : « Un pour tous, et tous pour un ». Cette suite laisse davantage la place aux intrigues, le contexte politique étant complexe, cela se ressent dans les rapports entre les personnages. Dumas essayant de coller avec exactitude au contexte historique, le récit est par conséquent moins épique. De mémoire, il faut attendre les 300 pages pour relever la première scène d’action. Il évite aussi cette tendance, que j’ai pu relever dans l’opus précédent, de résoudre des enjeux avec l’intervention de personnages extérieurs au récit. L’auteur prend le temps de poser son intrigue, développe intelligemment ses personnages, et prend en compte les événements développés dans le livre précédent. Ainsi, le lecteur découvrira que l’issue de l’arc narratif de Milady du premier livre, entrainera des conséquences dangereuses et dramatiques dans celui-ci. En engendrant, notamment, un sentiment de culpabilité chez nos héros. Découvrir les mousquetaires vieillissants a quelque chose d’attendrissant. Il plane un parfum de douce nostalgie, renforcé par les nombreux rappels au premier livre. Il est dommage de constater que ce dernier a complètement éclipsé une suite - que j’estime personnellement supérieure - et dans le même temps, voir l’incrédulité de nombreux lecteurs, ignorants que Dumas avait en réalité écrit une trilogie à ses mousquetaires.« Vingt ans » ont passé depuis les événements narrés dans « Les trois mousquetaires ». D’Artagnan n’a eu comme unique avancement, l’attribution du rang de lieutenant des mousquetaires. Au service de l’impopulaire cardinal Mazarin, pour lequel il n’éprouve pas une grande sympathie, mais qu’il est obligé de servir à cause de son serment à l’égard de la régente. Ce dernier va lui demander de retrouver ses anciens compagnons : Athos, Porthos et Aramis dans le but d’une mission spéciale. Dans un royaume divisé par la Fronde des princes et du parlement ; D’Artagnan va découvrir que si certains de ses anciens compagnons de fortune sont passés dans le camp adverse. Une fois les quatre réunis, leur amitié indéfectible renaît, et dans l’adversité se resserrent les liens que les troubles en France et dans l’Angleterre de Cromwell ne sauront défaire. Plus que dans l’aventure précédente, « Vingt ans après » illustre à merveille la fameuse devise : « Un pour tous, et tous pour un ». Cette suite laisse davantage la place aux intrigues, le contexte politique étant complexe, cela se ressent dans les rapports entre les personnages. Dumas essayant de coller avec exactitude au contexte historique, le récit est...
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  • py314159 30/01/2024
    20 ans après (1845) est un roman historique d'Alexandre Dumas avec la collaboration d'Auguste Maquet, suite des Trois mousquetaires (1844). Vingt ans se sont écoulés depuis la campagne de La Rochelle et d'Artagnan est toujours lieutenant. La Fronde gronde contre la politique de Mazarin qui a pris la succession de Richelieu. Les héros ont vieilli et ne servent plus les mêmes intérêts. Une nouvelle génération arrive, Raoul, vicomte de Bragelonne, fils adoptif d'Athos et Mordaunt, fils de Milady de Winter. Malgré quelques longueurs, un brillant roman de capes et d'épées.
  • Mamyfran 29/01/2024
    Près de vingt ans qu’ils s’étaient perdus de vue ! Est-ce que leur amitié aura résisté au temps ? C’est du moins ce qu’espère D’Artagnan qui a accepté une mission du très controversé cardinal Mazarin. D’Artagnan compte ainsi gagner les fonds nécessaires à la restauration de son domaine familial gascon dans lequel il a l’intention de finir ses jours. Pour ce projet, l’aide de ses trois anciens amis serait un atout majeur. Première déception : lorsque notre fier mousquetaire retrouve Aramis, celui-ci l’envoie délicatement sur les roses. D’Artagnan flaire dans ce refus un mystère qu’il ne peut s’expliquer. Seconde déception : les retrouvailles avec Athos, bien que chaleureuses, ne débouchent sur rien. Le Comte de la Fère décline poliment l’offre sous le prétexte fallacieux du bonheur retrouvé à éduquer un jeune garçon, Raoul, qu’il a nommé Vicomte de Bragelonne. Seul Porthos, qui s’ennuie fermement sur ses terres, s’enflamme à l’idée d’accompagner D’Artagnan, avec l’objectif d’en retirer un titre de baron. Tous deux ignorent qu’ils se retrouvent dans le camp opposé d’Aramis et d’Athos qui ont choisi de militer pour le parti de la Fronde, parti anti-Mazarin. On ne peut plus douter que leurs retrouvailles seront délicates : la politique va-t-elle définitivement briser la fidélité et l’amitié qui les unissent ? Oups !!! N’allons pas trop vite émettre des suppositions. Souvenez-vous !!! N’ont-ils pas tous quatre un poids sur la conscience ? (Rappel : voir la fin du 1er tome « Les trois Mousquetaires » dont la lecture est indispensable pour aborder ce second tome) Un jugement arbitraire, sans procès, une exécution secrète… Le bourreau de cette pénible affaire passée confesse à un moine errant son lourd fardeau. Problème : le moine n’en est pas un, il est le fils de Milady et, sous le nom de Mordaunt, il jure de venger sa mère. Comme toujours, le second tome d’une trilogie déçoit quelque peu. Bien sûr, on retrouve avec délectation les caractères propres à chacun, on est heureux de connaitre leur parcours, on espère leur réconciliation, mais la magie n’opère pas pour autant. J’attribue ce manque de passion au fait que l’auteur s’attarde longuement sur le contexte politique (obligatoire pour la compréhension, me répondront certains…) J’avoue avoir manqué d’assiduité dans les descriptions des conflits et des batailles. Ensuite les intrigues s’imbriquent : celle qui oppose les pro-Mazarin à la Fronde et celle qui décrit le combat de Mordaunt. Ces affaires se juxtaposent sans réelle cohérence et, au final, je suis restée sur ma faim pour l’achèvement de ces deux conflits. Ce qui n’empêche que le style de Dumas est toujours bien présent, son écriture est talentueuse par sa fluidité et sa richesse d’expression. Il va sans dire que le troisième tome est déjà dans ma PAL.Près de vingt ans qu’ils s’étaient perdus de vue ! Est-ce que leur amitié aura résisté au temps ? C’est du moins ce qu’espère D’Artagnan qui a accepté une mission du très controversé cardinal Mazarin. D’Artagnan compte ainsi gagner les fonds nécessaires à la restauration de son domaine familial gascon dans lequel il a l’intention de finir ses jours. Pour ce projet, l’aide de ses trois anciens amis serait un atout majeur. Première déception : lorsque notre fier mousquetaire retrouve Aramis, celui-ci l’envoie délicatement sur les roses. D’Artagnan flaire dans ce refus un mystère qu’il ne peut s’expliquer. Seconde déception : les retrouvailles avec Athos, bien que chaleureuses, ne débouchent sur rien. Le Comte de la Fère décline poliment l’offre sous le prétexte fallacieux du bonheur retrouvé à éduquer un jeune garçon, Raoul, qu’il a nommé Vicomte de Bragelonne. Seul Porthos, qui s’ennuie fermement sur ses terres, s’enflamme à l’idée d’accompagner D’Artagnan, avec l’objectif d’en retirer un titre de baron. Tous deux ignorent qu’ils se retrouvent dans le camp opposé d’Aramis et d’Athos qui ont choisi de militer pour le parti de la Fronde, parti anti-Mazarin. On ne peut plus douter que leurs retrouvailles seront délicates : la politique va-t-elle définitivement briser la fidélité et...
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